Ce soir-là, la rivière coulait calmement profitant aux chercheurs d'or de se mettre au travail. Leur sueur présente sur leurs fronts montraient qu'ils travaillaient durs chaque jours pour une recherche qu'ils ne trouveraient sans doute jamais. Moi, je regardait surtout un homme intriguant, une fine moustache blanche relevée lui donnait beaucoup de charme malgré son âge. Il habitait deux tentes après moi, sa femme avait déliberement besoin d'un médecin, car sa grosesse se passairt mal et elle ne voualit pas perdre son bébé une troisième fois? Son mari n'avait pas l'air de s'en préocupé vraiment. Le seul médecin qui venait dans ce coin perdu jusqu'à maintenant, etait mort de l'épidemie qui touchait notre village. Chaque jour, plusieurs femmes et hommes mouraient de cette grave tous qui rongeait la vois respiratoire. Je vivais avec mon père et ma mère dans une tente blanche trouée qui laissait passer les coups de vents glacials d'hiver. Chaque soir, c'était la même chose, mon père rentrait des mines ivrogne et battait ma pauvre mère qui elle aussi était enceinte. J'avais très peur qu'elle perdre son bébé, j'en voudrais à mon père toute ma vie.
Une ombre passa devant notre tente et laissa entrer mon père. Il avait beaucoup de sueur, l'air ailleurs comme les ivrognes. Ma mère fit comme si de rien était et lui serva sa soupe dans un bol fissuré.
- Encore de la soupe?! lança mon père vers Luiza, ma mère
- Oui, tu nne rapportes pas assez de l'argent pour faire autre chose....dit-elle timidement.
- Ecoute moi bien, il n'y a que moi qui travaille ici, alors je me passe de tes commentaires sinon......
Luiza lui coupa la parole, sèchement:
- Sinon rien, mange ta soupe, elle va reffroidir!
mon père s'assit sur l'unique chaise qu'on possédait et commença à avaler.
- Luiza?
Elle se retourna.
- Oui?
- La viande est pas cuite! Tu te moques de qui?!
Mon père se leva de son assise, prit une ceinture dans ses mains et avança doucement vers ma mère avec son regard noir. Ma mère se plaque contre la tente et ferma les yeux. Je ne pouvais pas laisser Luiza se faire battre. Je sauta discretement sur mon père et lui enlavit sa ceinture de ses mains. Mais, je n'avais pas penser à sa force et me projesta brusquement contre le sol en-dehors de la tente. Mon dos frappa lourdement le sol, me clouant au sol. J'entendit les cris de ma mère. Je me bouchais les oreilles. Deux minutes plus tard, Horace, mon père sortit et s'en alla danbs les bois. J'en profitais pour ramper comme je pouvais vers Luiza gisant par terre.
Son visage était en sang, elle tremblait. Je cria à l'aide de toute mes forces. Une voisine arriva alors en courant avec son mari. Son mari la porta au sorte d'hopitalk où les habitants s'entredaient. Il la posa délicatement sur un lit et éponga son sang. Je restait toute la nuit veillant sur elle.
La suite demain! Dites moi ce que vous en pensez!!!!!!!!!
